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divinocalvo
Well Crawdaddy you seem to assume what you wrote then : "There are also posts from a couple of people who were there,that makes me think, ' Do they really like The Stones and their music ? '"
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24FPSQuote
divinocalvo
You are right Wroclaw
Who can say one is a GOOD fan and other a BAD fan ?
You have to respect tastes and opinions, not dictate a Fan code
I appreciate what you are saying, however, I have decided not to go on these particular threads of individual concerts because I don't want to piss on the parade of those whose ears have not abandoned them yet. If they get a charge out of what is now being presented, more power to them. I'm a little jealous that they can still get the old thrill I used to get from listening to the Stones live. Cheers.
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crawdaddy
I appreciate everybody likes differant things when it comes to a concert, in way of standing,sitting ,setlist,sound etc.
I guess I must be very easy to please after seeing The Rolling Stones play live many times,and enjoyed each and every show.
Buzzin' for a few days after a Stones show.................or most gigs I go to.
Not a bad thing really to feel like that. ><
Went to see a good covers band on the beach at Mojacar here in Spain yesterday late afternoon and had a ball.
Just giving anyone reading this thread,my feelings about experience of watching and listening to The Rolling Stones.
I was just giving this thread my observation of positive posts and negative posts about the Paris show.
Not saying I'm right or wrong or asking everyone to agree with me.
We are all entitled to an opinion,as you have just told me yours,and I'm just saying mine.
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Svartmer
The great response to the relatively obcsure song Out of control could hopefully be a hint that it´s possible for them to play some lesser known songs whitout losing the crowd (it´s still a few weeks to Stockholm...)
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dcba
Dean, you're talking about Jagger's outfit for the song?
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Plink
Wonderful shots, TE. Thanks for posting. Would you mind sharing the make and model of your new camera and your distance from the stage? I'm shopping for a new camera and, based on your shots, yours looks like it could be a good option.
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powerage78
ROLLING STONES AU STADE DE FRANCE
Jagger : 1. Richards : 0
[gonzai.com]
Il manquait un ingrédient, vendredi soir, au concert des Rolling Stones, mais difficile de déterminer lequel. Lorsque j’aperçois leurs frêles silhouettes au fond de la scène, quelques secondes avant leur entrée, je n’éprouve curieusement aucun frisson. L’impression de regarder quatre gars qui s’apprêtent à faire leur boulot, et non accomplir une tâche héroïque, du genre : sauver le rock’n’roll. Le rockänroll (comme l’orthographiait Daniel Darc) est mort et enterré et ne ressuscitera pas ce soir.
Déjà, il faut faire avec ce son épouvantable. Auraient-ils installé un stagiaire derrière la console ? Les intermittents en grève auraient-ils saboté leur sono ? Et puis, il y a l’état physique de cette bande de survivants… Sur les premiers titres, la voix de Jagger est méconnaissable – ensuite, ça ira en s’améliorant, reconnaissons-le. La frappe de Charlie reste la dernière bouée à laquelle s’accrocher, au milieu d’une bouillie de riffs et de fausses notes qui dégouline des doigts gourds de Keith et Ronnie.
Pour le décorum, la tournée 14 On Fire est en mode « low key ».
La scène est moins spectaculaire que d’habitude et les Stones en ont fini des effectifs pléthoriques. En guise de section cuivres, seuls Bobby Keys et Tim Ries ont été retenus, les chœurs étant assurés par les fidèles Lisa Fischer et Bernard Fowler, exit le vaillant Blondie Chaplin. Au clavier, on retrouve le barbu Chuck Leavell qui, heureusement, s’est débarrassé de son perpétuel – et agaçant – sourire, qui essayait de nous persuader qu’il prenait un sacré bon temps à jouer les utilités. Curieusement, Matt Clifford, présent sur deux titres (au clavier et au cor) ne sera pas cité lors de la traditionnelle présentation des musiciens – sans doute parce qu’en tant que complice des escapades solos de Mick, il n’est pas en odeur de sainteté auprès de Richards.
Après quelques morceaux, il se confirme que quelque chose cloche.
Je n’irais pas jusqu’à exiger un choc esthétique qui m’inspirerait une phrase du genre, « j’ai vu le futur du rock’n’roll », mais simplement un peu de plaisir. Reconnaître les morceaux interprétés aurait suffi à mon bonheur. Hélas, bien malgré eux, les Stones sont touchés par le syndrome Dylan : il faut plusieurs minutes avant de discerner ce qu’ils sont en train de jouer.
Au cours de la première partie du concert, ce sont deux titres récents qui s’en tirent le mieux : Doom and Gloom et Out of Control. Sûrement parce qu’on n’en attendait pas grand-chose. Plus que jamais, Watts et Jagger portent le show sur leurs épaules, ce dernier nous régalant d’un longs solo d’harmonica bluesy sur Out of Control.
mick-taylor-ieuvQuand Mick Taylor rejoint ses ex-collègues, sur Midnight Rambler, le niveau monte provisoirement de deux ou trois crans. Ce qui frappe, c’est qu’en comparaison des seventies, où Wyman et Taylor étaient deux statues de sel posées aux deux coins de la scène, l’ex-nouveau guitariste frétille comme un cabri. Il semble foutrement content d’être là, Mick, et désireux de prouver aux autres (à Jagger, surtout, dont il cherche sans cesse le regard) qu’ils ont fait le bon choix en le réintégrant. À quoi songe-t-il, durant ces dix minutes où il redevient un Rolling Stone ? À ces années perdues ? À sa carrière tombée dans l’anonymat un soir de 1974 ? En tout cas, cette vie brisée lui confère un beau regard triste, humain, réel. Qualités qu’on chercherait en vain chez ses acolytes.
La parenthèse est de courte durée, car déjà Wood et Richards reviennent aux affaires. J’aurais dû acheter les protège-tympans que ce revendeur me proposait, finalement…
Autre sujet d’agacement : ces forêts de smartphones qui masquent régulièrement la scène. Les propriétaires de ces bras tendus semblent ignorer qu’on peut se procurer le DVD du concert de Hyde Park pour une somme modique. Quel intérêt d’emmagasiner des giga-octets d’images mal cadrées ? Ces obsédés de la photo-souvenir ont néanmoins le mérite de pointer du doigt ce qui me tracasse depuis le début : nous, le public, tout comme eux, sur scène, faisons semblant. Nous jouons au concert de rock’n’roll. Aucun acteur ne manque : public, musiciens, vendeurs à la sauvette… Même les C.R.S. sont venus. Sauf qu’en 2014, le rôle de ces derniers n’est plus de dissuader les autonomes d’entrer sans payer, mais d’empêcher les bobos de se faire dépouiller entre le stade et le métro.
En 1976, quand les Stones jouaient aux Abattoirs, ils constituaient une énigme pour les adultes, qui ne comprenaient pas pourquoi leurs enfants aimaient « ça ». Aujourd’hui, l’énigme, c’est pourquoi tout le monde aime les Stones (ou prétend les aimer), la plus mauvaise raison d’aller les écouter en 2014 – et je l’ai beaucoup entendue – étant : « Il s’agit sans doute de leur dernière tournée. » Pour ma part, j’ose avouer que j’y suis allé à la fois par habitude et par masochisme. Les extraits vidéos postés par des fans sur YouTube laissaient craindre le pire. Et le pire s’est produit. Ce pire étant peut-être que le concert n’était pas totalement raté : le cadavre bouge encore et rappelle de temps à autre un groupe de rock’n’roll appelé les Rolling Stones.
Après Satisfaction, le stade s’est vidé dans le calme, tandis que la sono annonçait les prochains concerts : One Direction, Indochine… Je me suis alors souvenu pourquoi j’aimais les Stones plus que n’importe quel autre groupe : ils ne deviendront jamais des professionnels. C’est le plus grand groupe amateur que cette planète ait connu. Rater l’intro d’un morceau qu’on joue depuis cinquante ans, qui d’autre en est capable ? Les Rolling Stones sont une diligence lancée dans le désert avec les Apaches à ses trousses. Parfois, leurs balles font mouche – même si c’est de moins en moins le cas –, mais le vrai suspens consiste à deviner quel essieu cèdera en premier, d’où partira la flèche qui fauchera le cocher, combien de temps les chevaux emballés résisteront à l’attrait du précipice…
À propos de chevaux emballés, leur version tendue de Wild Horses, avec Keith et Ron à l’électrique, n’était pas si mal. En tout cas, mieux qu’en 1972. Tout n’est pas perdu.
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The Worst.Quote
toomuchforme
Oh and forget about the Stade de France and its POOR sound. No more concerts there. The PA are too far from the bottom (the sound in 2006 and 2007 was better) and no speakers were installed at the back
A 40.000 capacity is about to surface and I hope to see great shows there with a sound as good as the Zenith...
[fr.wikipedia.org]
Were you standing in the back? They had four towers with speakers pointing to the back. Was it just low or actually poor?
Normally, I'll be standing close to the stage, but this time I was sitting on the side in section T5. The sound was superb from my seat, the best I've heard so far on this tour.
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TE
It's the Canon Powershot S120.
Very happy so far.
I had the front row Ronnie. Around 8-10 "seats" from the cat walk.
TE
Oslo
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gotdablouse
Rambling in Paris :
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drbryant
By the way, did anyone have seats in the nosebleeds? Were those speaker towers able to get good sound for those in the third tier?
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Nikkei
yes, i used the official snippet they put up on youtube. still waiting for something from waldbühne there, but maybe they have better plans with that material ;-) anyway it looks once again like i heavily missed out on a great Paris show. you were at Trabendo too, right?