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Damn fine to see The Stones something positive for a change.
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roby
[www.lefigaro.fr]
C'est avec le standard Route 66, premier titre de leur premier album, que The Rolling Stones ont ouvert le concert qui marquait jeudi soir le coup d'envoi des quelques dates données à l'occasion de leurs cinquante années d'existence.
Massés aux abords de la petite scène du Trabendo (Paris XIXe), moins de 700 privilégiés, répartis entre invités personnels du groupe et fans lève-tôt ayant décroché leurs billets au Virgin Megastore contre la somme dérisoire de 15 euros affichaient d'emblée leur bonheur. L'inscription sur le ticket annonçait un concert de chauffe très court: c'est finalement pendant une bonne heure et quart que les vétérans ont joué une douzaine de chansons.
«Nous n'en revenons pas d'être encore tous debout»
En formation serrée, le noyau historique du groupe étant complété par le bassiste Darryl Jones et le clavier Chuck Leavell, tous deux assurant les chœurs. «Merci bien d'être là», a déclaré Jagger en français avant de se tourner vers Ron Wood pour lui demander le titre de la chanson suivante, It's only Rock'n'Roll, exécutée avec énergie, malgré un Keith Richards en retrait. Remarqué pour le succès de sa spectaculaire autobiographie, Life (Robert Laffont), le guitariste a paru diminué pendant toute la première partie de la soirée. Il suffit qu'il empoigne sa fidèle Telecaster pour retrouver une partie de sa vigueur d'antan.
A ses côtés, dansant comme un beau diable, grimaçant à s'en faire rire, conscient de son outrance, Mick Jagger continue de composer une épatante bête de scène, en dépit de ses 69 ans. «Il est étrange d'être de retour. Nous n'en revenons pas d'être encore tous debout. Un ou deux d'entre nous devraient être à terre, mais ce n'est pas le cas», ajoute-t-il en tombant sa veste, dévoilant un corps d'une sveltesse ahurissante. Avec trois extraits dont la chanson-titre, l'album Some Girls, enregistré à Paris en 1978, a été le plus représenté de la soirée.
Des tubes de légende
Mais c'est vraiment à partir de leur reprise de Champagne & Refeer, du bluesman Muddy Waters, auteur de Rollin' Stone, chanson qui leur a donné leur nom, que le concert atteint des sommets de partage. Omniprésent (chant, guitare, harmonica), Jagger dirige le groupe avec fermeté. Le seul musicien, dont il ne croise jamais le regard, est son frère ennemi Keith Richards, qui semble s'être résigné à lui céder le pouvoir. Amoindri, empâté, le vieux pirate retrouve tout son éclat sur les pièces les plus anciennes du groupe (Tumbling Dice, Midnight Rambler). Il semble si peu intéressé par la nouvelle chanson Doom & Gloom qu'il lâche la guitare en plein milieu, visiblement largué.
Frappe sèche, silhouette élégante, Charlie Watts est la deuxième autorité du groupe, avec sa signature rythmique inimitable. Le long Midnight Rambler permet aux musiciens d'atteindre des sommets d'intensité et de dramaturgie. Aucun concert des Stones, fut-il en club, ne serait complet sans la poignée de titres qui ont fait leur légende: Start Me Up, Jumpin' Jack Flash et Brown Sugar, dans des versions impeccables, pilotées par un Richards qui a enfin repris ses forces.
Visiblement dopés par l'enthousiasme de la foule, les Rolling Stones ont alors rejoint les voitures qui les ont ramenés à leur lieu de résidence parisienne. Prochaine étape lundi, dans le cadre du Théâtre de Mogador, avant peut-être d'autres apparitions parisiennes dans les semaines qui viennent.
yes indeed but you know le figaro is shit paper so it's no surprise !Quote
DandelionPowdermanQuote
roby
[www.lefigaro.fr]
C'est avec le standard Route 66, premier titre de leur premier album, que The Rolling Stones ont ouvert le concert qui marquait jeudi soir le coup d'envoi des quelques dates données à l'occasion de leurs cinquante années d'existence.
Massés aux abords de la petite scène du Trabendo (Paris XIXe), moins de 700 privilégiés, répartis entre invités personnels du groupe et fans lève-tôt ayant décroché leurs billets au Virgin Megastore contre la somme dérisoire de 15 euros affichaient d'emblée leur bonheur. L'inscription sur le ticket annonçait un concert de chauffe très court: c'est finalement pendant une bonne heure et quart que les vétérans ont joué une douzaine de chansons.
«Nous n'en revenons pas d'être encore tous debout»
En formation serrée, le noyau historique du groupe étant complété par le bassiste Darryl Jones et le clavier Chuck Leavell, tous deux assurant les chœurs. «Merci bien d'être là», a déclaré Jagger en français avant de se tourner vers Ron Wood pour lui demander le titre de la chanson suivante, It's only Rock'n'Roll, exécutée avec énergie, malgré un Keith Richards en retrait. Remarqué pour le succès de sa spectaculaire autobiographie, Life (Robert Laffont), le guitariste a paru diminué pendant toute la première partie de la soirée. Il suffit qu'il empoigne sa fidèle Telecaster pour retrouver une partie de sa vigueur d'antan.
A ses côtés, dansant comme un beau diable, grimaçant à s'en faire rire, conscient de son outrance, Mick Jagger continue de composer une épatante bête de scène, en dépit de ses 69 ans. «Il est étrange d'être de retour. Nous n'en revenons pas d'être encore tous debout. Un ou deux d'entre nous devraient être à terre, mais ce n'est pas le cas», ajoute-t-il en tombant sa veste, dévoilant un corps d'une sveltesse ahurissante. Avec trois extraits dont la chanson-titre, l'album Some Girls, enregistré à Paris en 1978, a été le plus représenté de la soirée.
Des tubes de légende
Mais c'est vraiment à partir de leur reprise de Champagne & Refeer, du bluesman Muddy Waters, auteur de Rollin' Stone, chanson qui leur a donné leur nom, que le concert atteint des sommets de partage. Omniprésent (chant, guitare, harmonica), Jagger dirige le groupe avec fermeté. Le seul musicien, dont il ne croise jamais le regard, est son frère ennemi Keith Richards, qui semble s'être résigné à lui céder le pouvoir. Amoindri, empâté, le vieux pirate retrouve tout son éclat sur les pièces les plus anciennes du groupe (Tumbling Dice, Midnight Rambler). Il semble si peu intéressé par la nouvelle chanson Doom & Gloom qu'il lâche la guitare en plein milieu, visiblement largué.
Frappe sèche, silhouette élégante, Charlie Watts est la deuxième autorité du groupe, avec sa signature rythmique inimitable. Le long Midnight Rambler permet aux musiciens d'atteindre des sommets d'intensité et de dramaturgie. Aucun concert des Stones, fut-il en club, ne serait complet sans la poignée de titres qui ont fait leur légende: Start Me Up, Jumpin' Jack Flash et Brown Sugar, dans des versions impeccables, pilotées par un Richards qui a enfin repris ses forces.
Visiblement dopés par l'enthousiasme de la foule, les Rolling Stones ont alors rejoint les voitures qui les ont ramenés à leur lieu de résidence parisienne. Prochaine étape lundi, dans le cadre du Théâtre de Mogador, avant peut-être d'autres apparitions parisiennes dans les semaines qui viennent.
Weird review! Seemingly, Keith was at his best on Rambler and the warhorses...
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spunky
Shattered and When the whip comes down!
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jpasc95yes indeed but you know le figaro is shit paper so it's no surprise !Quote
DandelionPowdermanQuote
roby
[www.lefigaro.fr]
C'est avec le standard Route 66, premier titre de leur premier album, que The Rolling Stones ont ouvert le concert qui marquait jeudi soir le coup d'envoi des quelques dates données à l'occasion de leurs cinquante années d'existence.
Massés aux abords de la petite scène du Trabendo (Paris XIXe), moins de 700 privilégiés, répartis entre invités personnels du groupe et fans lève-tôt ayant décroché leurs billets au Virgin Megastore contre la somme dérisoire de 15 euros affichaient d'emblée leur bonheur. L'inscription sur le ticket annonçait un concert de chauffe très court: c'est finalement pendant une bonne heure et quart que les vétérans ont joué une douzaine de chansons.
«Nous n'en revenons pas d'être encore tous debout»
En formation serrée, le noyau historique du groupe étant complété par le bassiste Darryl Jones et le clavier Chuck Leavell, tous deux assurant les chœurs. «Merci bien d'être là», a déclaré Jagger en français avant de se tourner vers Ron Wood pour lui demander le titre de la chanson suivante, It's only Rock'n'Roll, exécutée avec énergie, malgré un Keith Richards en retrait. Remarqué pour le succès de sa spectaculaire autobiographie, Life (Robert Laffont), le guitariste a paru diminué pendant toute la première partie de la soirée. Il suffit qu'il empoigne sa fidèle Telecaster pour retrouver une partie de sa vigueur d'antan.
A ses côtés, dansant comme un beau diable, grimaçant à s'en faire rire, conscient de son outrance, Mick Jagger continue de composer une épatante bête de scène, en dépit de ses 69 ans. «Il est étrange d'être de retour. Nous n'en revenons pas d'être encore tous debout. Un ou deux d'entre nous devraient être à terre, mais ce n'est pas le cas», ajoute-t-il en tombant sa veste, dévoilant un corps d'une sveltesse ahurissante. Avec trois extraits dont la chanson-titre, l'album Some Girls, enregistré à Paris en 1978, a été le plus représenté de la soirée.
Des tubes de légende
Mais c'est vraiment à partir de leur reprise de Champagne & Refeer, du bluesman Muddy Waters, auteur de Rollin' Stone, chanson qui leur a donné leur nom, que le concert atteint des sommets de partage. Omniprésent (chant, guitare, harmonica), Jagger dirige le groupe avec fermeté. Le seul musicien, dont il ne croise jamais le regard, est son frère ennemi Keith Richards, qui semble s'être résigné à lui céder le pouvoir. Amoindri, empâté, le vieux pirate retrouve tout son éclat sur les pièces les plus anciennes du groupe (Tumbling Dice, Midnight Rambler). Il semble si peu intéressé par la nouvelle chanson Doom & Gloom qu'il lâche la guitare en plein milieu, visiblement largué.
Frappe sèche, silhouette élégante, Charlie Watts est la deuxième autorité du groupe, avec sa signature rythmique inimitable. Le long Midnight Rambler permet aux musiciens d'atteindre des sommets d'intensité et de dramaturgie. Aucun concert des Stones, fut-il en club, ne serait complet sans la poignée de titres qui ont fait leur légende: Start Me Up, Jumpin' Jack Flash et Brown Sugar, dans des versions impeccables, pilotées par un Richards qui a enfin repris ses forces.
Visiblement dopés par l'enthousiasme de la foule, les Rolling Stones ont alors rejoint les voitures qui les ont ramenés à leur lieu de résidence parisienne. Prochaine étape lundi, dans le cadre du Théâtre de Mogador, avant peut-être d'autres apparitions parisiennes dans les semaines qui viennent.
Weird review! Seemingly, Keith was at his best on Rambler and the warhorses...
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spunky
Shattered and When the whip comes down!
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liddas
Best Whip since 81!
C
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beepee2Quote
liddas
Best Whip since 81!
C
Here we go, best JJF since 72 and best Brown Sugar ever, I imagine...
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beepee2Quote
liddas
Best Whip since 81!
C
Here we go, best JJF since 72 and best Brown Sugar ever, I imagine...
it was not that bad in 2003 MSGQuote
DandelionPowdermanQuote
beepee2Quote
liddas
Best Whip since 81!
C
Here we go, best JJF since 72 and best Brown Sugar ever, I imagine...
But it's true. Whip hasn't been very well played since 81.
J'ai vu ça hier soir aussi, toujours pas décoléré, ce sont les 50 places qui auraient suffit à faire plus d'heureux parmi les honnêtes gens refoulés au Virgin après 5 heures de queue.Quote
toomuchforme
Guess what ? Security let 50 persons without tix getting in at 7pm
Watch BFM tv report
I left the place at 6.45 ...
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jpasc95it was not that bad in 2003 MSGQuote
DandelionPowdermanQuote
beepee2Quote
liddas
Best Whip since 81!
C
Here we go, best JJF since 72 and best Brown Sugar ever, I imagine...
But it's true. Whip hasn't been very well played since 81.
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Justin
It's hard to tell for sure but I think that's the most rhythm Keith has played on "Whip" in a very long time. Cool video. I can't imagine being part of the audience...looks like a real great room to see a show.